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La Russie enterre l’énergétique hydrogène

La Russie enterre l’énergétique hydrogène

25.08.2009 — Analytique


Le Combinat électrochimique ouralien a fait une offre à l'Etat d'organiser vers 2020 la production en masse des sources d'énergétique hydrogènes. Cependant le mécanisme d'investissements des projets sophistiqués perspectifs ne s'est pas encore formé en Russie. Les experts y voient un des problèmes principaux qui empêche le pays de garder les recherches de l'importance mondiale.

 

La Russie s'occupe de l'énergétique hydrogène depuis très longtemps. C'est encore en 1971 que le système de production d'énergie hydrogène-oxigène a été élaboré pour le vaisseau lunaire, a été à l'essai sur la Terre et était prêt pour les vols en espace. La technologie a apparu du franctionnement isotopique d'uranium sur la base duquel les spécialistes du Combinat électrochimique ouralien ont élaboré les accumulateurs nickel-hydrogènes et les générateurs électrochimiques d'énergie électrique. Une des modifications de l'accumulateur fonctionne depuis déjà dix ans sur l'orbite circumterrestre faisant partie du satellite "Yamal-100" en assurant la transmission des programmes de radio et télévision. La deuxième est installée sur le satellite "Sterkh" qui a été orbité la fin juillet 2009. Les avantages des méchanismes pareils consistent en ce qu'ils ne demandent pas de combustible hydrocarbonné, sont non polluant et leur coéfficiant d'efficacité est plus haut que celui des sources d'énergie traditionnelles.

Le Combinat électrochimique ouralien voit l'utilisation de ses recherches non seulement en espace. Dans les années 1990s les spécialistes ont modernisé le générateur électrochimique "Photon" créée pour le vaisseau spatial "Bouran" et l'ont installé sur une voiture. D'ailleurs, on s'est arrêté sur la démonstration, comme la plupart de la population de Russie ne peut pas se permettre la voiture non polluante. Le coût d'un kilowatt de cette voiture hésite de 10 à 25 milles d'euros (la puissance du moteur constitue d'habitude 60 kilowatts).

Les experts affirment que les possibilités d'abaissement du coût de la voiture "hydrogène" existent. Elles sont liées à l'utilisation des matériels moins chers, la simplification de la construction et le fabrication des catalyseurs de métaux non précieux. Cependant, affirme l'ingénieur en chef de l'usine des convertisseurs électrochimiques du Combinat électrochimique ouralien Boris Pospélov, les meilleurs cerveaux du monde n'ont pas réussi à diminuer le coût d'un kilowatt de puissance. De plus, la platine manquera tout simplement pour la production en série. C'est pourqoi, d'après l'expert, le monde suit le chemin incorrect.

Les spécialistes du Combinat électrochimique ouralien ont compté que les générateurs utilisant les piles à combustible alcalines sont vingt pour cents plus économiques que celles de polymérique que le monde préfèrent aujourd'hui. En perspective, les éléments alcalins pourront fonctionner sur les catalyseurs sans métaux précieux. Le temps du fonctionnement du générateur pareil est cinq fois plus long que le générateur polymérique. Les calculs ont démonstré que lors de la production en série de nouvelles sources d'énergie avec la capacité totale de 5 mégawatts par an, le coût d'un kilowatt pourra être baissé de 10 à 3 milles d'euros. Vers 2020, envisage Boris Pospelov, lors de la production en masse il est réel d'atteindre le coût inférieur à 1000 euros par kilowatt.

D'ailleur, les constructeurs se rendent compte que l'automobile hydrogène ne va pas parraître sur nos routes dans le avenir le plus proche. Premièrement, il est nécessaire de baisser considérablement le coût d'un kilowatt, deuxièmement, il faut créer des réseaux de stations d'hydrogène et troisièmement, il faut résoudre le problème de la production et du stockage d' hydrogène. Le chef du laboratoire de l'Institut de l'électrochimie à haute température Nikolay Batalov dit que le moyen de la production d'hydrogène du gaz naturel est le moyen le moins cher, mais assez sale. L'électrolyse (la décomposition d'eau) est le moyen plus pure, mais il est plus cher.

Le chef du bureau de construction et de fabrication de l'usine des convertisseurs électrochimiques du Combinat électrochimique ouralien Mikhail Bagenov est convaincu que les problèmes seront résolus avec le temps. Par exemple, le décomposition d'eau sera possible à l'aide des batteries solaires installées sur les toits de maisons et des bâtiments publiques. Leur puissance sera assez pour renouveller les stocks d'hydrogène et d'oxigène dans les systèmes d'alimentation électrique de secours qui sont irremplaçables dans les hôpitaux, les centres de traitement de données etc. Les grandes centrales d'énergie pourraient aussi s'occuper d'électrolyse la nuit, pendant la perte de charge.

L'ingenieur général adjoint de la filiale de Sverdlovsk de la Compagnie de Production d'Energie territoriale-9 Léonide Solovyev admet qu'il est possible pour les centrales de s'occuper de l'électrolyse la nuit à la condition de construction de larges réservoires pour stockage d'hydrogène et d'oxigène. L'expert souligne qu'on sera obligé à les construire tôt ou tard comme les énergéticiens seront obligés à changer l'huile combustible pour le gaz liquéfié dans l'avenir. Cela va exiger les réservoires pour des dizaines de mètres cubes. Dans le cadre de ce projet on pourrait aussi construire les réservoires pour l'hydrogène parce que d'après Nikolay Batalov, le meilleur moyen de stockage de ce gaz est aussi en état liquéfié.

Mikhail Bagenov souligne que les indices économiques du projet seront en normes tôt ou tard, après les travaux de recherches, de construction et d'essai. Le plus important est que l'élaboration a ses clients, par exemple les Américains voulaient acheter les sources d'alimentation de 5 kilowatts de puissance pour les dispositifs de levage et de transport fonctionnant dans les espaces fermées. Les ouraliens ont calculé que la production sera rentable si on fabrique une mille d'appareils ce qui demande l'équipement de l'entreprise pou lequel le combinat ne possède pas de moyens, et les Américains voulaient acheter seulement les sources achevés.

Les constructeurs ont tâché d'obtenir le financement d'Etat en plaçant une demande pour 1,2 milliard de roubles à la corporation "Rosnano" en 2008, comme on utilise les nanocatalyseures dans la fabrication des piles à combustible. Les experts ont donné leur avis favorable pour les recherches du Combinat électrochimique ouralien, et puis les créateurs du générateurs ont appris de sources non-officielles que le conseil de science et de technique, créé sur la base de la corporation, a donné son avis défavorable comme leurs recherches "ne correspondent pas au niveau mondial". L'ironie est dans le fait que les experts du Combinat électrochimique ouralien ont élaboré l'appareil avec les caractéristiques et le ressources même plus hauts, mais formalement le conseil de science et de technique a raison: il ne correspond pas au niveau mondial.

Les constructeurs ne peuvent pas non plus d'obtenir d'argent du gouvernement de Moscou, qui s'est mis à financer les travaux sur l'élaboration du générateur électrochimique comme la source d'énergie pour le transport commun non polluant. Mikhail Bagenov dit que les élaborateurs ne reçoivent pas d'argent bien que les entreprises de Moscou l'aient déjà reçu. Tout cela fait penser les spécialites que la Russie n'est pas prête aux nouveaux recherches qui pourront devenir perspectives dans l'avenir. La paperasserie bureaucratique peut mener à la perte des technologies dont le perfectionnement a pris des dizaines d'années.

Le chef de la chaire d'énergétique atomique de l'Université technique de l'Oural Serguey Chtchekléin est convaincu que le temps d'une nouvelle élaboration technique du Combinat électrochimique ouralien n'est pas encore venu. Les fonctionnaires pourront se rattraper dans vignt ans quand le combustible organique deviendra trop cher. Mais il pourrait déjà être trop tard comme par exemple aujourd'hui quand nous ne savons pas comment fabriquer les postes de télé. "Je crois qu'il ne faut pas jeter les recherches du Combinat électrochimique ouralien. A l'époque nous avons été les premiers dans l'énergique d'hydrogène mais lors de dernières 15 années nous sommes très en arrière. Ce qui est important aujourd'hui c'est de ne pas être hors de course ou bien ce serait la même chose que nous avons aujourd'hui avec les postes de télé ou des automobiles quand nous ne savons pas ce qui se trouve à l'intérieur".

Mikhail Bagénov est sûr que la promotion de cette idée par-dessous est impossible. Le programme "Bouran" pour lequel le générateur a été élaboré, a été pris au-dessus et donc c'est pourquoi sa realisation est devenue possible. Le générateur hydrogène pour l'industrie et la vie de tous les jours c'est un programme assez large et il doit être réalisé dans le cadre d'état. Le problème le plus important c'est la création d'un mécanisme d'investissement d'élaborations perspectives qui permettra de recevoir le profit pratique à bref délai.

Vladimir Terletski

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